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ÂME NOMADE / Pour une poétique des mouvements intérieurs
Projets 2008 - 2010
Courtes formes scéniques, films d'animation et vidéos, Jeu masqué, ombres et marionnettes
Le projet vise à créer une expérience poétique et visuelle qui plongera le spectateur au cœur d’une intériorité - là où se déclinent en parallèle les états de présence d’un personnage à la fois adulte, enfant, vieillard et animal.
Dans ce paysage intérieur, les représentations du personnage animées, filmées et performées s’enchaînent, alternent, se superposent, se multiplient, se figent ou se dissolvent; ses silences et ses murmures entrent en résonnance avec d’autres «bruits» de son intériorité.
De ces sons et ces images qui s’entrechoquent ou se bercent, les particularités de son identité intérieure se révèlent peu à peu. Sur le principe de la variation de rapport d’échelles et de matérialités, chaque séquence évoque un état de présence propre au corps, à la pensée, aux sensations ou aux émotions qui traversent et marquent la vie de ce personnage.
En traçant un parallèle entre ses tensions/pulsions et les paysages extérieurs où il évolue, c'est la perpétuelle quête d'équilibre du personnage dans ses rencontres de soi qui est exprimé.
Projets 2008 - 2010
Courtes formes scéniques, films d'animation et vidéos, Jeu masqué, ombres et marionnettes
Le projet vise à créer une expérience poétique et visuelle qui plongera le spectateur au cœur d’une intériorité - là où se déclinent en parallèle les états de présence d’un personnage à la fois adulte, enfant, vieillard et animal.
Dans ce paysage intérieur, les représentations du personnage animées, filmées et performées s’enchaînent, alternent, se superposent, se multiplient, se figent ou se dissolvent; ses silences et ses murmures entrent en résonnance avec d’autres «bruits» de son intériorité.
De ces sons et ces images qui s’entrechoquent ou se bercent, les particularités de son identité intérieure se révèlent peu à peu. Sur le principe de la variation de rapport d’échelles et de matérialités, chaque séquence évoque un état de présence propre au corps, à la pensée, aux sensations ou aux émotions qui traversent et marquent la vie de ce personnage.
En traçant un parallèle entre ses tensions/pulsions et les paysages extérieurs où il évolue, c'est la perpétuelle quête d'équilibre du personnage dans ses rencontres de soi qui est exprimé.
Pleine-Lune 2008-2012
-Pleine-Lune est une grande solitaire. Ceux et celles qu’elle observe l’emplissent d’une lumière empreinte de douceur et de silence. Le lien d’intimité qu’elle crée avec chacun des êtres qui la regardent et la questionnent est porteur d’une poésie unique. Si vous tendez bien l’oreille, Pleine-Lune vous murmurera l’écho de vos propres pensées, celles qui nourrissent de sens la vie, l’amour et la solitude.
Installation lumineuse, interactive ou fixe
Crédits photos Théâtre Outremont: Jean-Guy Lambert
Crédits photos Théâtre de la Ville Charleville-Mézières: Brigitte Pougeoise
Dimensions debout : 9 pieds
Papiers et vernis, fils métalliques, lumières
Installation lumineuse, interactive ou fixe
Crédits photos Théâtre Outremont: Jean-Guy Lambert
Crédits photos Théâtre de la Ville Charleville-Mézières: Brigitte Pougeoise
Dimensions debout : 9 pieds
Papiers et vernis, fils métalliques, lumières
Théâtre d'ombres et d'éclairs 2010
Les poésies rassemblées dans ce recueil sont issues de périodes d’écriture s’étalant de 1998 à 2008. Elles tracent, hors d’une logique temporelle, un parcours vers l’intériorité. Comme autant de petits murmures, les mots viennent ancrer la beauté sombre ou lumineuse dans la profondeur de la solitude.
Les photos, elles, témoignent de recherches visuelles amorcées en 2000 (dessins, sculptures, vidéos, installations, photos, marionnettes, masques, animations).
Ces recherches ont ensuite convergé vers un projet de création scénique en 2008 : par la marionnette, l’ombre, le masque et l’animation Âme Nomade explore un chemin d’intériorité ponctué d’ombres et de lumières; une passion à devenir soi dans toutes ses lettres minuscules et majuscules et une énergie pour se convaincre, contre vents et marées, qu’il y a bien une lumière tout au fond de la solitude dévorante.
Les photos, elles, témoignent de recherches visuelles amorcées en 2000 (dessins, sculptures, vidéos, installations, photos, marionnettes, masques, animations).
Ces recherches ont ensuite convergé vers un projet de création scénique en 2008 : par la marionnette, l’ombre, le masque et l’animation Âme Nomade explore un chemin d’intériorité ponctué d’ombres et de lumières; une passion à devenir soi dans toutes ses lettres minuscules et majuscules et une énergie pour se convaincre, contre vents et marées, qu’il y a bien une lumière tout au fond de la solitude dévorante.
La Perle de lune 2010
Projet d'animation en chantier. Technique image par image avec une silhouette en papier articulée et un décor à la manière des anciens théâtres de papier où glissent et s'articulent des plans de décors superposés.
L'animation de quelques minutes sera un projet autonome ou bien sera alors liée à une vidéo de projection d'ombres en direct sur scène.
Le personnage articulé, c'est Pleine-Lune, celui de l'installation lumineuse. La silhouette en papier articulée sera réalisée à partir de photos de la grande marionnette lumineuse.
L'animation de quelques minutes sera un projet autonome ou bien sera alors liée à une vidéo de projection d'ombres en direct sur scène.
Le personnage articulé, c'est Pleine-Lune, celui de l'installation lumineuse. La silhouette en papier articulée sera réalisée à partir de photos de la grande marionnette lumineuse.
Voyage au centre de la lune 2009
Courte-forme/ masques, marionnettes
Exploration en chantier présentée pour la première fois en formule cabaret à l'UsineC en janvier 2009 puis au Micro-festival de marionnettes en chantier de Trois-Rivières, en avril 2009.
Cette expérimentation a puisé profondément dans mon univers visuel. J'ai éliminé la présence du texte poétique, pour aller davantage du côté de la poésie visuelle. Ce choix a orienté tout mon travail depuis ce temps...La force du silence ou de l'atmosphère sonore et musicale correspond tout à fait à mon désir d'explorer les thématique liées à l'intériorité.
Le personnage du corbeau noir (la qualité de la vidéo ne lui rend pas justice) est directement issu des personnages que je travaillais vingt ans plus tôt en gravure et en dessin. La femme blanche est née de mon désir de créer un univers totalement en noir et blanc. J'avais exploré le dessin et le corps féminin quelques années auparabant et j'ai eu le goût, ni plus ni moins, que de faire un dessin en trois dimensions, un dessin habité. Cette décision de reprendre l'esthétique en noir et blanc que j'avais longtemps exploré en dessin et en gravure a littéralement donné un souffle à mon projet. J'ai senti qu'il y avait une force de convergence entre différents aspects développés dans ma démarche de création tout au long de mon parcours.
Musique originale de Michel Weber
Crédits photos du spectacle présenté au Micro-festival de marionnettes en chantier: Cinthia Chouinard
Collaborations aux phrasés chorégraphiques et à la qualité des mouvements (avant et après la présentation à Trois-Rivières): Patricia Bergeron et Josée Richard
Exploration en chantier présentée pour la première fois en formule cabaret à l'UsineC en janvier 2009 puis au Micro-festival de marionnettes en chantier de Trois-Rivières, en avril 2009.
Cette expérimentation a puisé profondément dans mon univers visuel. J'ai éliminé la présence du texte poétique, pour aller davantage du côté de la poésie visuelle. Ce choix a orienté tout mon travail depuis ce temps...La force du silence ou de l'atmosphère sonore et musicale correspond tout à fait à mon désir d'explorer les thématique liées à l'intériorité.
Le personnage du corbeau noir (la qualité de la vidéo ne lui rend pas justice) est directement issu des personnages que je travaillais vingt ans plus tôt en gravure et en dessin. La femme blanche est née de mon désir de créer un univers totalement en noir et blanc. J'avais exploré le dessin et le corps féminin quelques années auparabant et j'ai eu le goût, ni plus ni moins, que de faire un dessin en trois dimensions, un dessin habité. Cette décision de reprendre l'esthétique en noir et blanc que j'avais longtemps exploré en dessin et en gravure a littéralement donné un souffle à mon projet. J'ai senti qu'il y avait une force de convergence entre différents aspects développés dans ma démarche de création tout au long de mon parcours.
Musique originale de Michel Weber
Crédits photos du spectacle présenté au Micro-festival de marionnettes en chantier: Cinthia Chouinard
Collaborations aux phrasés chorégraphiques et à la qualité des mouvements (avant et après la présentation à Trois-Rivières): Patricia Bergeron et Josée Richard
La Traversée 2008
La Traversée from magali chouinard on Vimeo.
Projet d'animation hybride image par image (en volumes, en dessins et en ombres) La Traversée a été la première exploration en animation et c'est de là que se sont dessinés ensuite les fondements esthétiques et narratifs du projet Âme Nomade.
La Traversée a été développé comme un élément d'ouverture du projet Âme Nomade.
L'exploration présentée dans la vidéo a été réalisée dans le cadre de l'événement Kabanim organisé par Kinö, aux 7e sommet du cinéma d'animation au Musée de la Civilisation de Québec.
Musique Originale: Michel Weber
Les photos présentées dans l'album, elles, sont des épreuves d'atelier où j'explorais des séquences possibles en ombres, en volumes et en dessin.
La Traversée a été développé comme un élément d'ouverture du projet Âme Nomade.
L'exploration présentée dans la vidéo a été réalisée dans le cadre de l'événement Kabanim organisé par Kinö, aux 7e sommet du cinéma d'animation au Musée de la Civilisation de Québec.
Musique Originale: Michel Weber
Les photos présentées dans l'album, elles, sont des épreuves d'atelier où j'explorais des séquences possibles en ombres, en volumes et en dessin.
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Murmures à vide 2008
Courte-forme / ombres, marionnette bunraku et marionnette lumineuse
Présentée au Cabaret Café Concret#4 en février 2008, à Montréal
Trame sonore et montage vidéo: Michel Weber
Murmures à vide est ma première création en arts de la marionnette.
Quelques mois auparavant, j'avais fait un stage en théâtre d'ombres très inspirant avec la compagnie Giocco Vita lors du festival Maniganses à Saguenay (voir la vidéo explorations ombres). J'avais découvert lors de ce stage - auquel je m'étais inscrite pour développer des projets avec mes élèves en art dramatique - que mon univers visuel avait une belle force poétique pour la scène. J'ai senti que ça allait de soi que ma création prenne cette nouvelle direction.
Présentée au Cabaret Café Concret#4 en février 2008, à Montréal
Trame sonore et montage vidéo: Michel Weber
Murmures à vide est ma première création en arts de la marionnette.
Quelques mois auparavant, j'avais fait un stage en théâtre d'ombres très inspirant avec la compagnie Giocco Vita lors du festival Maniganses à Saguenay (voir la vidéo explorations ombres). J'avais découvert lors de ce stage - auquel je m'étais inscrite pour développer des projets avec mes élèves en art dramatique - que mon univers visuel avait une belle force poétique pour la scène. J'ai senti que ça allait de soi que ma création prenne cette nouvelle direction.
Mes personnages existaient déjà de par d'autres recherches techniques et plastiques précédemment réalisées. Puis, c'est en adaptant des bribes de mes textes poétiques que j'ai construit la trame narrative, celle-ci évoquait la nécessité du détachement pour trouver sa liberté et sa légèreté intérieures.
Le texte murmuré était enregistré au travers d'une trame sonore riche en atmosphères créée par Michel Weber. Ce fut une collaboration inspirante qui a permis de donner une belle force dramatique au projet.
Dans les différentes étapes de création du projet, les marionnettistes qui m'ont accompagnée étaient Camille, Maude et Renaud Chouinard-Boucher (mes enfants :-). L'aventure était folle et stimulante à la fois. C'était comme de se lancer dans le vide, avec la peur et l'excitation me tenant chacun une main! L'expérience m'a donné le goût de continuer à explorer le langage scénique avec la certitude que je pourrais arriver à trouver les pistes pour transposer mon univers visuel sur scène.
Le texte murmuré était enregistré au travers d'une trame sonore riche en atmosphères créée par Michel Weber. Ce fut une collaboration inspirante qui a permis de donner une belle force dramatique au projet.
Dans les différentes étapes de création du projet, les marionnettistes qui m'ont accompagnée étaient Camille, Maude et Renaud Chouinard-Boucher (mes enfants :-). L'aventure était folle et stimulante à la fois. C'était comme de se lancer dans le vide, avec la peur et l'excitation me tenant chacun une main! L'expérience m'a donné le goût de continuer à explorer le langage scénique avec la certitude que je pourrais arriver à trouver les pistes pour transposer mon univers visuel sur scène.
J'ai développé le projet plus avant. J'ai éliminé des personnage et adapté le mécanisme de la marionnette lumineuse afin de pouvoir la manipuler seule. Ce deuxième essai a été moins concluant parce que la manipulation était beaucoup trop difficile. Toutefois, ce deuxième effort présenté en formule cabaret au festival Maniganses 2010 m'a tout de même permis de réaliser que j'avais la capacité de travailler en solo.
La marionnette lumineuse utilisée étant devenue l'installation Pleine-Lune, c'est désormais ce personnage-là qui a une place dans le projet Âme Nomade. Pour ce qui est des ombres, les explorations se poursuivent en direct et en vidéo.
La marionnette lumineuse utilisée étant devenue l'installation Pleine-Lune, c'est désormais ce personnage-là qui a une place dans le projet Âme Nomade. Pour ce qui est des ombres, les explorations se poursuivent en direct et en vidéo.
Rétrospective
Parcours de création amorcé en 1988
Recherche développée autour du corps, du mouvement, des cycles de temps. Élaboration du langage personnel entre dessin et sculpture, installations et écriture poétique. Le désir de sortir l'oeuvre du cadre et de proximité avec le spectateur a construit peu à peu le chemin vers les arts de la marionnette...
Parcours de création amorcé en 1988
Recherche développée autour du corps, du mouvement, des cycles de temps. Élaboration du langage personnel entre dessin et sculpture, installations et écriture poétique. Le désir de sortir l'oeuvre du cadre et de proximité avec le spectateur a construit peu à peu le chemin vers les arts de la marionnette...
Coups de crayon dans le vide / 2005-2006
Alors que mes explorations portaient davantage sur la performance par des workshops et des participations à des collectifs, cet immense dessin a été réalisé en atelier sur plus d'une année. Il représente une étape charnière entre les explorations sur le corps issues de la période de La Surface des jours et celles d'Antichambres pour me mener, l'année suivante, vers le corps en mouvement par l'animation et la marionnette inspirées de mes dessins.
C'est une oeuvre qui s'est précisée, lentement comme une broderie, et qui a permis à mes idées de se déposer alors que je cherchais un sens, une direction à prendre dans ma création. Cette année-là a amorcé également une période d'écriture plus intense qui s'est poursuivi jusqu'en 2008.
L'auto-représentation et le JE en écriture évoquent tous deux le besoin de transformer le personnel en universel. Toute cette recherche à partir de la représentation ou de l'affirmation du corps s'est établie avec La Surface des jours et les explorations vidéos, les empreintes, les animations et m'ont menées plus tard vers le double marionnettique et le masque.
Crédits photos: Daniel Roussel
C'est une oeuvre qui s'est précisée, lentement comme une broderie, et qui a permis à mes idées de se déposer alors que je cherchais un sens, une direction à prendre dans ma création. Cette année-là a amorcé également une période d'écriture plus intense qui s'est poursuivi jusqu'en 2008.
L'auto-représentation et le JE en écriture évoquent tous deux le besoin de transformer le personnel en universel. Toute cette recherche à partir de la représentation ou de l'affirmation du corps s'est établie avec La Surface des jours et les explorations vidéos, les empreintes, les animations et m'ont menées plus tard vers le double marionnettique et le masque.
Crédits photos: Daniel Roussel
Fais-moi danser 2004
Installation interactive in-situ
Fils de fer, poulis, câbles, hauteur 10 pieds
Projection de l'ombre au mur: ombres linéaires du corps sculpté, ombres opaques des spectateurs manipulant les câbles pour faire bouger le corps.
Chaise et tricot en fil de fer, intervention live une heure par jour tout le long de l'exposition.
Maison de la Culture Frontenac
Crédits photos: Daniel Roussel
Fils de fer, poulis, câbles, hauteur 10 pieds
Projection de l'ombre au mur: ombres linéaires du corps sculpté, ombres opaques des spectateurs manipulant les câbles pour faire bouger le corps.
Chaise et tricot en fil de fer, intervention live une heure par jour tout le long de l'exposition.
Maison de la Culture Frontenac
Crédits photos: Daniel Roussel
Antichambres 2002-2003
Explorations sur le corps entier, morcelé ou articulé, le mouvement, la lenteur. Le noir et le blanc, les ombres, les négatifs, la silhouette. Photos, vidéos, travaux d'aiguille et modelages.
Crédits photos: Daniel Roussel
Crédits photos: Daniel Roussel
La Surface des jours / 2001-2002
Cette série de créations aborde la présence du corps en lien avec différents cycles temporels: une année, une heure, un mois, une minute... L'empreinte, le miroir, la photo, le dessin, les travaux d'aiguille servent à capter la présence du corps et l'inscrire dans une séquence de temps. L'exploration visuelle s'associe aussi parfois à l'environnement sonore.
Les préoccupations formelles et esthétiques touchent l'aspect performatif du corps, le mouvement ainsi que la présence et le lieu.
Le noir, le blanc et le rouge sont les couleurs essentiellement explorées pour parler d'absence, de présence et d'urgence.
Les oeuvres et explorations réalisées au cours de ces deux années de recherche ont été rendues possibles grâce au soutien du Conseil des Arts et Lettres du Québec.
Voir dossier de presse en fichiers attachés.
Crédits photos: Daniel Roussel
Les préoccupations formelles et esthétiques touchent l'aspect performatif du corps, le mouvement ainsi que la présence et le lieu.
Le noir, le blanc et le rouge sont les couleurs essentiellement explorées pour parler d'absence, de présence et d'urgence.
Les oeuvres et explorations réalisées au cours de ces deux années de recherche ont été rendues possibles grâce au soutien du Conseil des Arts et Lettres du Québec.
Voir dossier de presse en fichiers attachés.
Crédits photos: Daniel Roussel
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Dessins pour toucher le ciel et la terre / 2000
Installation In-situ
Ce projet d'installation éphémère a littéralement été une plaque tournante vers une période de création plus conceptuelle. C'est par l'utilisation du miroir que le basculement s'est opéré.
Cet élément intégré à mes oeuvres dans toute la série J'EUX a mené vers un aboutissement dans l'oeuvre MAINTENANT, UNE FICTION EN TEMPS RÉEL (La Surface des jours).
Miroirs, vitres, branches, feuilles, racines, souches
Parc de la Chapelle des Cuthbert, Berthierville
Voir fichier attaché pour dossier de presse
Ce projet d'installation éphémère a littéralement été une plaque tournante vers une période de création plus conceptuelle. C'est par l'utilisation du miroir que le basculement s'est opéré.
Cet élément intégré à mes oeuvres dans toute la série J'EUX a mené vers un aboutissement dans l'oeuvre MAINTENANT, UNE FICTION EN TEMPS RÉEL (La Surface des jours).
Miroirs, vitres, branches, feuilles, racines, souches
Parc de la Chapelle des Cuthbert, Berthierville
Voir fichier attaché pour dossier de presse
dans_le_decor.pdf | |
File Size: | 4528 kb |
File Type: |
J'eux / 1999-2000
Comme l'indique le titre, toute cette série de création prend son ancrage dans l'exploration des frontières affectives entre le soi et l'autre et c'est par le thème des jeux qui ont marqué l'enfance que se construit chaque proposition. L'association des dessins avec les photos et les éléments naturels poussent à son apogée toutes mes préoccupations sur la notion de confusion entre la réalité, sa perception et son souvenir. Le thème de l'arbre, de la forêt, de l'enfant et du loup, de l'enfant devenu femme sont au coeur des réflexions portant sur l'affectif de l'adulte fortement habité par les émotions imprimées depuis l'enfance. Le loup devient, au fil des oeuvres, un personnage qui se définit dans la nuance entre la peur et la pulsion irrésistible de la traverser pour voir qui l'on est de l'autre côté. L'écriture poétique se libère des structures de compositions et devient beaucoup plus impulsive. Les textes de la série J'eux sont principalement issus d'un désir de "photographier" un état émotif.
Le rouge, le blanc et le noir s'installent en prédominance. Le miroir devient un élément clé de la symbolique développée.
La surface de base en bois me permet de développer une technique qui entremêle dessin, peinture, collages de papiers et d'objets.
Crédits photos: Daniel Roussel
Le rouge, le blanc et le noir s'installent en prédominance. Le miroir devient un élément clé de la symbolique développée.
La surface de base en bois me permet de développer une technique qui entremêle dessin, peinture, collages de papiers et d'objets.
Crédits photos: Daniel Roussel
il_etait_une_fois.pdf | |
File Size: | 4421 kb |
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Géographies à fleur de peau / 1998
Vingt-quatre hublots, vingt-quatre heures dans vingt-quatre fuseaux horaires différents pour capter le corps féminin et un moment d'intériorité. Chaque dans une présence simultatnée, comme si la réflexion de chaque femme trouvait son écho quelque part sur la terre. Les poésies intégrées sont de petites strophes glissant en tic tac, marquants les quart d'heures qui mènent à l'heure du prochain fuseau.
Un voyage poétique dans le temps et l'espace, une fenêtre ouverte sur la planète corps.
Hublots acier et vitre. Collages sur bois: dessins sur cartes géographiques, photos. Acrylique.
15 pouces de diamètre chacun.
Les poésies issues de cette série sont rassemblées dans un recueil publié à compte d'auteur Géographie à fleur de peau et autres poésies sur le désir
Photos d'exposition: Galerie Gora, Montréal et Exposition rétrospective Centre d'art contemporain de Repentigny
Photos de l'installation: Bibliothèque de St-Côme, programme acquisition d'une oeuvre, Intégration des arts à l'architecture.
Les textes intégrés à chaque hublot se trouvent en cliquant sur chacune des photos.
Crédits photos: Daniel Roussel
Un voyage poétique dans le temps et l'espace, une fenêtre ouverte sur la planète corps.
Hublots acier et vitre. Collages sur bois: dessins sur cartes géographiques, photos. Acrylique.
15 pouces de diamètre chacun.
Les poésies issues de cette série sont rassemblées dans un recueil publié à compte d'auteur Géographie à fleur de peau et autres poésies sur le désir
Photos d'exposition: Galerie Gora, Montréal et Exposition rétrospective Centre d'art contemporain de Repentigny
Photos de l'installation: Bibliothèque de St-Côme, programme acquisition d'une oeuvre, Intégration des arts à l'architecture.
Les textes intégrés à chaque hublot se trouvent en cliquant sur chacune des photos.
Crédits photos: Daniel Roussel
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carnet_de_voyage_0.pdf | |
File Size: | 3292 kb |
File Type: |
Explorations sculptures / 1994-1995
Ma première expérience dans le cadre d'un projet d'intégration des arts à l'architecture a été une porte ouverte qui m'a menée vers l'exploration de la troisième dimension, toujours par le format monumental.
J'ai principalement exploré le travail du métal par la technique de la soudure et de l'assemblage mécanique.
Certaines oeuvres ont été intégrées au projet Camouflage, voir avant d'être vu pour l'exposition au Centre d'art contemporain de Repentigny.
J'ai principalement exploré le travail du métal par la technique de la soudure et de l'assemblage mécanique.
Certaines oeuvres ont été intégrées au projet Camouflage, voir avant d'être vu pour l'exposition au Centre d'art contemporain de Repentigny.
Camouflage. Voir avant d'être vue / 1994-1995-1996
Installation suspendue
Musée des Traditions de Trois-Rivières
Installation avec sculpture de bois, de béton et de métal
Centre d'art contemporain de Repentigny
Acrylique, crayon de bois sur papiers encollés sur toile moustiquaire
6 x 21 pieds
Cette fresque dessinée puis déchirée et recollée en mosaîque sur un support translucide présente une série d'animaux de la forêt (l'ours, le loup, le chevreuil, la perdrix, le renard, le lynx) en plan frontal, puis en personnage hybride en plein mouvement. Le feu à l'avant, la présence envahissante de la nature, tout contribue à ensevelir la présence de chacun.
Crédits photos: Daniel Roussel
Musée des Traditions de Trois-Rivières
Installation avec sculpture de bois, de béton et de métal
Centre d'art contemporain de Repentigny
Acrylique, crayon de bois sur papiers encollés sur toile moustiquaire
6 x 21 pieds
Cette fresque dessinée puis déchirée et recollée en mosaîque sur un support translucide présente une série d'animaux de la forêt (l'ours, le loup, le chevreuil, la perdrix, le renard, le lynx) en plan frontal, puis en personnage hybride en plein mouvement. Le feu à l'avant, la présence envahissante de la nature, tout contribue à ensevelir la présence de chacun.
Crédits photos: Daniel Roussel
Quai des départs / 1992-93
Installation murale intérieure. Réalisée dans le cadre du programme d'intégration des arts à l'architecture (1%)
Bibliothèque municipale de Repentigny
Crayons sur papiers et photos encollés, bois, vitre plexi, métal, vernis
Chacune des portes représentent un univers particulier lié à l'écriture (les contes, le cinéma, histoire, la fable, la poésie, le reportage...) Comme un quai de gare ou différents trains amènent dans différentes direction...Une invitation au voyage
Les collages superposent des éléments de papiers déchirés provenant de différentes sources (revues, roman, papier à musique, dictionnaire...)
Le personnage central à trois dimensions, c'est l'écrivain dans l'acte d'écriture, son corps recouvert de pages de romans.
L'arche au pied de laquelle il est assis, c'est le livre dans lequel on entre
La chaise avec les mains en imposition, c'est l'invitation à entrer dans le monde du savoir
Crédits photos: Daniel Roussel
Bibliothèque municipale de Repentigny
Crayons sur papiers et photos encollés, bois, vitre plexi, métal, vernis
Chacune des portes représentent un univers particulier lié à l'écriture (les contes, le cinéma, histoire, la fable, la poésie, le reportage...) Comme un quai de gare ou différents trains amènent dans différentes direction...Une invitation au voyage
Les collages superposent des éléments de papiers déchirés provenant de différentes sources (revues, roman, papier à musique, dictionnaire...)
Le personnage central à trois dimensions, c'est l'écrivain dans l'acte d'écriture, son corps recouvert de pages de romans.
L'arche au pied de laquelle il est assis, c'est le livre dans lequel on entre
La chaise avec les mains en imposition, c'est l'invitation à entrer dans le monde du savoir
Crédits photos: Daniel Roussel
L'affaire de l'oeuf à la coq / 1988-89
Projet de création au départ à la fois littéraire et illustratif.
La création des personnages dessinés se développe au fur et à mesure que prend forme l'histoire de ces personnages imaginaires.
À la fois hommes et oiseaux, incapable de voler avec leur corps humain, la fable dessine une métaphore de ces hommes coincés dans leurs règles sociales rigides et leur incapacité à communiquer.
Au fil du temps, la création des dessins a pris davantage de place, faisant place à des formats de plus en plus grands et élaboré dans la composition.
Le plaisir du travail des couleurs au crayons sur de grands papiers a confronter la difficulté de présenter des oeuvres de si grand format sur un support si fragile.
Le texte littéraire dans son aboutissement n'a jamais vu le jour, les dessins se sont envolés chacun de leur côté.
La dernière oeuvre, Exodus l'éternelle migration, ouvre la porte à l'installation et à la 3e dimension.
Crédits photos: Daniel Roussel
La création des personnages dessinés se développe au fur et à mesure que prend forme l'histoire de ces personnages imaginaires.
À la fois hommes et oiseaux, incapable de voler avec leur corps humain, la fable dessine une métaphore de ces hommes coincés dans leurs règles sociales rigides et leur incapacité à communiquer.
Au fil du temps, la création des dessins a pris davantage de place, faisant place à des formats de plus en plus grands et élaboré dans la composition.
Le plaisir du travail des couleurs au crayons sur de grands papiers a confronter la difficulté de présenter des oeuvres de si grand format sur un support si fragile.
Le texte littéraire dans son aboutissement n'a jamais vu le jour, les dessins se sont envolés chacun de leur côté.
La dernière oeuvre, Exodus l'éternelle migration, ouvre la porte à l'installation et à la 3e dimension.
Crédits photos: Daniel Roussel
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